Une enquête menée par la fondation Zinsou a révélée les dix principales préoccupations des Béninois. Parmi celles-ci, l’accès à l’éducation et à une électricité de qualité. Tite Yokossi fait le point sur ces sujets.
Dans le cinquième acte de la série: « Les préoccupations des Béninois » Tite Yokossi fait le constat des problématiques et défis liés à l’accès à l’eau potable ainsi qu’aux infrastructures routières. Si le Bénin de par son réseau hydrographique est un pays qui ne manque pas d’eau, en 2009, seulement 63,6% de sa population avait accès à une source améliorée d’eau potable.
Lionel Zinsou dirige PAI Partners, le plus grand fond d’investissement français. Il est aussi le chantre de l’afro-optimisme. En attendant « Monsieur Zinsou, c’est quoi l’afro-optimisme ? » et « L’Afrique et ses 4 anomalies », Ecce homo ! Voici le parcours méritocratique d’un franco-béninois hors pair !
Interview de Philippe Mingotaud, directeur de MTP-Editions, une société française d’informatique qui a contribué au développement d’un procédé de télé-irrigation innovant et adapté aux pays africains.
De toute évidence, le système financier de nombreux pays africains constitue une faille qui favorise la sortie massive de capitaux du continent, et par voie de conséquence réduit la mobilisation de capitaux au niveau local pour financer le développement du continent.
Au cours des dernières années, la croissance économique s’est accélérée en Afrique. Elle suscite cependant des interrogations quant à sa capacité à profiter à tous, c’est-à-dire d’être inclusive. Comment évaluer le caractère inclusif de la croissance ? Quels sont les déterminants de cette inclusivité ?
L’environnement légal et réglementaire qui régit le cadre de fonctionnement des bourses du continent laisse a désirer. En cause, des droits de propriété mal définis, des difficultés chroniques à faire respecter les contrats et une protection légale déficiente.
En raison des inconvénients de ces marchés financiers, la question d’un système financier qui repose uniquement sur les banques est posée. Ces dernières en leur qualité d’intermédiaires financiers sont aussi en mesure de capter l’épargne et de la diriger vers les entrepreneurs tout en sélectionnant les projets les plus potentiellement rentables.
L’African School of Economics (l’école d’économie africaine, ASE) qui verra le jour à la rentrée de l’année scolaire 2014-2015 a pour but de répondre au manque d’écoles de classe mondiale en Afrique. Retour sur les détails de ce projet qui pourra contribuer au développement de l’Afrique à travers une formation excellente, des projets de recherche créatifs et des solutions innovantes et africaines pour éclairer les politiques et décisions économiques des pays africains.
Y a-t-il des marchés financiers en Afrique ? Si oui, à quoi servent-ils ? Relèvent-ils le défi d’aider le continent dans son processus de développement ? Quelles mesures doivent être prises pour que ces marchés se développent sainement ?
Y a-t-il des marches financiers en Afrique ? Si oui, à quoi servent-ils ? Relèvent-ils le défi d’aider le continent dans son processus de développement ? Quelles mesures doivent être prises pour que ces marches se développent sainement ? La série d’articles sur les marchés financiers que nous vous proposons répond à ces questions.
Face au peu de succès des solutions traditionnelles de financement (investissements directs à l’étranger, dette concessionnelle provenant d’institutions internationales), les Etats Africains se tournent de plus en plus vers les marchés financiers et émettent des obligations souveraines dont les montants sont importants. Opportunité bénéfique ou danger ?
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