L’Afrique contemporaine est l’objet de nombreux récits : celui des économistes, des sociologues, des démographes, des militants politiques, des historiens, des journalistes, des investisseurs… Ces récits occupent l’espace médiatique et académique, ils façonnent notre vision du continent africain. Le récit que portent les romanciers sur l’Afrique contemporaine, parce que parcellisé, protéiforme, hors cadre conventionnel, est lui peu audible. Pourtant, son importance est cruciale. Comme le soulignait Hermann Broch, les romans produisent des effets de vérité qui échappent à tous les autres systèmes d’interprétation et de représentation du monde. Depuis un peu plus de deux ans déjà, nos chroniqueurs littéraires rendent compte de ce regard particulier que portent les romanciers sur l’Afrique contemporaine. Une période de l’histoire qui s’est caractérisée par une mutation sociale accélérée, qui ne s’est pas faite sans violence. Une situation que reflètent les thématiques abordées par les romanciers, et que transcrit ce document."
L'Afrique au regard de ses romanciers
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Je ne comprends pas; ou se trouve donc la brochure???
Il faut la télécharger, en cliquant dessus Heidi (dowlnoad) 🙂
merci à vous pour ce partage. Un document intéressant et utile à bien des égards.
Vu sur le Net et, aujourd hui, rerips et enrichi sur le Jdd (enrichi e9tant le mot, puisqu il parle, lui, de 700.000 a3)Il arrive que des auteurs de blogs arrondissent fortement leurs fins de mois en transformant leurs e9crits en ligne en livres. Encore faut-il qu un e9diteur les remarque et c est le cas de petite anglaise , ou plutf4t de son auteur Catherine Sanderson.Rappelez-vous de cette histoire malheureuse : Catherine, qui ne pre9cisait pas son nom e0 l e9poque, e9tait secre9taire dans la socie9te9 britannique de comptabilite9 Dixon Wilson. Anglaise expatrie9e en France, elle tenait son journal intime en ligne, journal qui lui a cofbte9 son travail, son patron estimant que le blog nuisait e0 l image de la socie9te9. Tre8s surprenant puisque Catherine n avait jamais cite9 ni le nom de la socie9te9 en question, ni celui de ses colle8gues.Toujours est-il que le style d e9criture de Catherine a se9duit la maison d e9dition Penguin qui a rachete9 le blog. Un contrat pour deux livres a e9te9 signe9 entre les nouveaux partenaires. Le premier livre devrait eatre publie9 au printemps 2008.Le montant du contrat n a pas e9te9 re9ve9le9 mais Colin Randall, dans le dernier billet publie9 sur son blog du Telegraph, a des raisons de croire [qu’il] est de l ordre de 400.000 a3 (ndlr : presque 600.000 euros) et qu il pourrait augmenter avec des accords en Ame9rique et dans le reste du monde . Il conside8re e9galement comme tre8s forte la possibilite9 d un film. Petite anglaise aura-t-il autant de succe8s en format papier que sous forme de blog ? Le blog est en effet gratuit, accessible de partout dans le monde, interactif de par la possibilite9 de commenter, Et quels avantages en tirera l e9diteur sachant que pour eatre rentable, le livre devra eatre vendu e0 un million d exemplaires ? Question de mode selon Paul Carr, re9dacteur en chef de Friday Project, une start-up travaillant sur les confluences entre internet et e9dition : C est comme une re9pe9tition de la bulle internet. De la meame manie8re que les e9diteurs voulaient un site internet sans savoir de quoi il s agissait, ils ache8tent des blogs juste parce que c est la tendance du moment .Esprit d audace et de modernite9 des e9diteurs anglais contre frilosite9 des frane7ais. Un blog (POLICE, le journal d un flic) qui retrace le quotidien d une femme flic n a trouve qu un petit, mais respectable e9diteur, les e9ditions Michalon. Sans vouloir le vexer, il n a pas tout e0 fait la meame taille que Penguin. Mais il est vrai qu un texte qui paraeet d emble9e sur le Net n a pas de valeur, puisqu il n a pas e9te9 avalise9 par les autorite9s compe9tentes . Celles qui publient e0 chaque rentre9e 600 romans dont moins d 1% survivent un an apre8s dans la me9moire des lecteurs.
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