Peut-on parler d’une instrumentalisation du droit à l’éducation en Afrique ?

educ1Indéniablement reconnu par la communauté internationale comme un droit de l’homme, le droit à l’éducation soulève, malgré tout, une multitude de questionnements. Loin d’être un droit absolu, l’éducation est un outil fortement dépendant des intentions de l’acteur qui le détient.  L’étude de la complexité et de la malléabilité de l’éducation permet de prendre conscience de l’ambivalence des rôles qu’elle peut jouer. L’instrumentalisation de l’éducation est aussi bien porteuse d’obstacles sérieux à la réalisation de l’Objectif mondial du développement qu’est « l’Education pour tous » (EPT), que d’éléments clés à la dissémination d’une culture de la paix. Si l’éducation peut servir la cause de la domination et de l’oppression, il ne faut pas oublier qu’elle peut, de la même manière servir celle de la libération et de la liberté.[1] Lisez l’intégralité de cette Note d’Analyse.


[1] TAWIL Sobhi, Rapport final et étude de cas de l’atelier sur la destruction et la reconstruction de l’éducation dans les sociétés perturbées. 15-16 mai 1997, Genève, Suisse. Organisé conjointement par le bureau international de l’éducation et l’Université de Genève